Lecture,  poétique,  tranche de vie

Les Sans… Et autres contagions

J’adore le mot ‘ esperluette’ (les deux orthographes sont admises)

Vous avez une amie lointaine de qui vous êtes si proche. Comme deux enfants qu’elles sont toujours presque quarante ans plus tard, elles ouvrent leurs présents respectifs. Cette année mon amie me fait découvrir Anne herbauts, illustratrice, peintre, poétesse et auteur littérature jeunesse. J’aime ce genre de rencontre inspirante. Son livre ‘ sans début ni fin, petite parabole’ est un objet poétique qui trouve pleinement sa place en ma maison. À mon tour de partager, l’inspiration contagieuse pour contaminer le monde d’une saine créativité, c’est aussi l’objet de ce blog.

Et aujourd’hui, en cette fin d’année 2021 où j’ai si peu écrit, (j’ai d’ailleurs à ce titre un nouveau défi de publier 12 textes ‘sorties de carnets’ d’ici le 31 janvier 2022 pour rattraper cela ☺️) c’est à une autre plume que la mienne que j’ai envie de donner cet espace d’atelier.

J’ai donc partagé ma rencontre cadeau à l’ami compagnon de vie qui partage cette maison et hop!un petit texte est sorti de son clavier pour accompagner l’acte d’offrir ce bel objet à une autre destinataire lisboète. Un petit texte libre dans la continuité de l’inspirante poésie d’Anne Herbauts, et empreint de l’air de cette fin d’année 2021… Le voici :

Les sans pass
S’en passent-ils
Ou trépassent
Et d’un tour de passe-passe
Font passer les dépassés

Clovis Véron
✨L’inspiration du jour ✨

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